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Auteur : HAÏDAR Mazen
Prix (TTC) : 78.00 €
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Parution : 2021
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Fruit d’une longue enquête de terrain, cet ouvrage reconstitue l’histoire de Beyrouth au siècle dernier, entre 1900 et 1970, à travers l’évolution de la place de la ferronnerie d’art dans son architecture. Plus de mille dessins de garde-corps, de portes d’entrée, de grilles de fenêtres ou de rampes d’escaliers, donnent à la ville son identité visuelle : ces éléments la caractérisent durablement et dévoilent nombre de ses secrets. Quelles sont les sources d’inspiration de ces ouvrages et comment celles-ci ont été localement adaptées ? Par cet inventaire sans précédent, réalisé dans 52 secteurs, c’est à une réflexion sur la valeur d’un patrimoine libanais du xxe siècle, en péril, que ce livre entend contribuer.
Né à Beyrouth, Mazen Haïdar est architecte du patrimoine et chercheur, diplômé des Universités de Rome Sapienza et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Enseignant dans plusieurs écoles d’architecture au Liban et en France, ses recherches portent notamment sur le patrimoine du xxe siècle et les pratiques d’appropriation des habitants.
ISBN 10 : 2705340674
ISBN 13 : 9782705340674
Pages : 504
Format (mm) : 280x210
Discipline :
Archéologie-ArchitectureMots-clés :
ferronnerie d’art,
architecture,
beyrouth,
dessins,
garde-corps,
portes d’entrée,
grilles de fenêtres,
rampes d’escaliers,
patrimoine,
Liban
étendre le domaine sémiotique
(morphologie architecturale, villes, terres, patrimoine, argent, succession)
Auteur : HAMMAD Manar
Prix (TTC) : 36.00 €
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Parution : 2021
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Le présent recueil groupe onze articles publiés ces dernières années, complétant les collections antérieures parues dans Lire l’espace, comprendre l’architecture (2006) et dans Sémiotiser l’espace, décrypter architecture et archéologie (2015), pour assembler et mettre à la disposition des lecteurs quelques analyses qui, malgré leur dispersion dans divers supports académiques, poursuivent de manière raisonnée et cohérente un même but, celui de la mise au point des concepts et méthodes susceptibles de rendre compte des manifestations du sens dans le monde naturel, où l’architecture joue un rôle éminent. Le souci de porter la sémiotique en des domaines où elle n’avait pas été mise en œuvre éprouve la validité des prémisses. En étendant le domaine abordé, on élargit les espaces considérés et on multiplie le nombre des sujets du déplacement. On est amené en conséquence à considérer un espace physique plus complexe en relation avec un espace social plus touffu.
La question de l’élargissement du domaine d’étude peut être approchée avec la notion comparative d’échelle. Dans ce recueil, la notion d’échelle détermine l’ordre qui range les articles où dominent les questions de l’espace physique, alors que les questions de l’espace social dominent l’analyse de la Succession (article X) et la deuxième moitié de l’analyse de l’espace scandinave (article IX). C’est la grande échelle (celle d’une ville, d’une société, d’une ethnie…) qui impose l’introduction de quatre isotopies descriptives (religieux, militaire, économique, politique) nécessaires à l’analyse, alors qu’ils ne sont nullement utiles à l’échelle d’un édifice. Dépend aussi de l’échelle l’utilité de la notion d’acteur collectif, introduite par Greimas et Landowski en 1970 à propos de textes juridiques. Cette notion s’impose pour l’analyse des acteurs à l’échelle d’un territoire urbain (article VIII) ou d’un territoire régional (article IX).
Dans les articles réunis ici, nous avons opté pour une présentation qui privilégie l’objet d’analyse, en laissant au second plan les questions de méthode et le métalangage sémiotique, qui ont fait l’objet de critiques hors du milieu des sémioticiens. Cela répond au souci d’être lu hors du milieu « professionnel » : si nous voulons être compris par des architectes et des archéologues, il convient d’adopter un langage relativement ordinaire. Ce qui n’impose pas l’abandon des concepts qui régulent l’analyse : au contraire, nous avons tenu à en maintenir toute la cohérence et la rigueur, sans afficher le métalangage pour autant. Nous espérons avoir réalisé un tel équilibre. Il fallut formuler quelques propositions et en tester l’efficacité. Leur utilité se mesure à l’aune de l’intérêt des questions résolues et des résultats obtenus.
Sommaire
i Morphologie et interprétation en archéologie
ii Perspective archéosémiotique sur Palmyre
iii Sémiotique de l’irrigation à Tadmor-Palmyre
iv Sémiotique de la destruction à Tadmor-Palmyre
v Semantics of patrimonial destruction
vi Reconstruire les villes, notes de synthèse
vii Sémiotique et Urbanisme
viii Régimes anciens de la terre au Proche-Orient
ix Dirhams en Scandinavie, argent & rente foncière
x La Succession
xi L’espace du virus
Né à Beyrouth en 1944, Manar HAMMAD suivit des études de mathématiques, d’architecture et de sémiotique avant de s’engager dans la recherche et l’enseignement puis dans l’archéologie. Il a travaillé quatorze ans sur Palmyre, où il a dirigé une mission archéologique (2009-2010). Architecte DPLG et Docteur en sémiotique, il aborde l’architecture et la ville pour y chercher un sens qui s’articule sur la forme géométrique et sur les valeurs sous-tendant l’action des hommes. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages de sémiotique de l’espace, où les questions de méthode sont explicitées en relation avec des cas concrets choisis en raison des caractères structurels qui les articulent.
ISBN 10 : 2705340865
ISBN 13 : 9782705340865
Pages : 376
Format (mm) : 160x240
Discipline :
Archéologie-ArchitectureMots-clés :
sémiotique,
archéologie,
Palmyre,
patrimoine,
urbanisme,
Proche-Orient
Archives françaises commentées
Auteur : BONNENFANT Paul
Prix (TTC) : 68.00 €
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Parution : 2019
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La fierté de Djedda sʼinvestit notamment dans des records de hauteur. Le plus haut mât du monde pour un drapeau, 170 m de haut, inauguré le 23 septembre 2014 à l’occasion de la fête nationale de l’Arabie saoudite. Le plus haut jet dʼeau du monde, 312 mètres. Quʼon imagine la puissance des canons à eau nécessaires pour envoyer lʼeau à une telle hauteur ! Mais le monument le plus emblématique du futur est sans conteste la « Tour du royaume », rebaptisée « Tour de Djedda », dont la construction devrait sʼachever en 2020. Paroxysme de sa hauteur qui doit atteindre plus dʼun kilomètre, en dépassant toutes les tours du monde.
Djedda a été classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, sur la liste des biens culturels, en juin 2014, comme Porte de La Mecque : pôle spirituel de l’islam du monde entier, vers lequel les musulmans se tournent cinq fois par jour pour la prière, et où les pèlerins affluent désormais, tous les ans, par millions.
Dès le début du XIXe siècle, des voyageurs ont remarqué la hauteur des maisons et la qualité de la décoration en bois ajouré des moucharabiehs, loges en encorbellement sur les façades. Cette architecture aérienne et éolienne s’est épanouie entre 1800 et 1950, époque où la mer Rouge est devenue une des principales voies maritimes du monde, surtout après l’ouverture du canal de Suez en 1869.
Le noyau historique de Djedda est le témoin d’un « style de la mer Rouge », fait d’empreintes croisées de deux sphères d’influence commerciale et artistique : vers le nord-ouest, le monde de la Méditerranée orientale, autour d’Istanbul, du Caire et de Damas ; vers le sud-est, le monde de l’océan Indien, autour de la côte indienne du nord-ouest.
Les archives françaises possèdent de nombreuses photos sur l’architecture domestique de Djedda et des ports de la mer Rouge. Prises durant la première guerre mondiale, elles illustrent abondamment cet ouvrage. Quasi inédites, elles sont riches d’enseignement sur le centre historique de la ville avant les transformations drastiques dues aux retombées de la rente pétrolière.
Ancien directeur de recherche au CNRS affecté à lʼIREMAM, Paul Bonnenfant a passé une trentaine d’années dans les pays arabes. Il s’attache particulièrement à étudier les rapports de l’habitat avec les structures sociales, en privilégiant les recherches sur le terrain. Il a dirigé plusieurs ouvrages collectifs sur la péninsule Arabique, région dont il est spécialiste.
ISBN 10 : 2705340407
ISBN 13 : 9782705340407
Pages : 470
Format (mm) : 240x300
Discipline :
Archéologie-ArchitectureMots-clés :
Djedda,
architecture,
Patrimoine mondial de l’UNESCO,
moucharabiehs,
façades,
style,
histoire,
ville
Anthologie de textes sur Djeddah, 1697 - 1939. Préface de Philippe Pétriat
Auteur : BLIN Louis
Prix (TTC) : 45.00 €
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Parution : 2019
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Les écrits français sur la ville de Djeddah forment un corpus riche et méconnu. Des auteurs prestigieux comme Alexandre Dumas, Arthur de Gobineau, Victor Hugo, Jules Verne, Paul Nizan, Albert Londres, Joseph Kessel ou Paul Morand y côtoient des dizaines de voyageurs oubliés et des signatures moins célèbres. Sa constitution au XIXe siècle est liée à l’éveil de l’intérêt de la France pour le bassin de la mer Rouge et le pèlerinage à La Mecque, à mesure qu’elle devenait une puissance musulmane. Le consulat de France, ouvert en 1839 à Djeddah, deviendra le port d’attache de voyageurs attirés par une région restée jusqu’alors méconnue par la culture européenne. Ainsi est-ce par le biais de cette ville que les Français découvrirent l’Arabie, sur les plans humain, politique, religieux et littéraire. Elle fut le creuset d’un savoir français aujourd’hui oublié.
Cette anthologie exhume les sources françaises de l’histoire de l’Arabie. Elle rassemble, introduit et commente plus de deux cents écrits d’une précision remarquable sur Djeddah, souvent d’une grande valeur littéraire. Ces textes en dressent un tableau évolutif fourmillant de détails sur tous les aspects de sa vie quotidienne, qui permet de suivre son évolution et celle du regard français sur l’Arabie. L’occultation de l’Arabie dans l’imaginaire français dans la seconde partie du XXe siècle a contribué à effacer ces écrits du patrimoine orientaliste, qu’ils relèvent du domaine documentaire, du récit de voyage ou de la fiction. Djeddah y avait pourtant sa place pendant près d’un siècle, en particulier grâce au fameux tombeau d’Ève, qui reliait le patrimoine commun aux grands monothéismes à l’espace symbolique oriental.
Louis Blin, docteur en histoire et arabisant, a été consul général de France à Djeddah de 2012 à 2015. Il a publié de nombreux livres et articles sur le monde arabe contemporain.
ISBN 10 : 2705340117
ISBN 13 : 9782705340117
Collection :
VariaPages : 788
Format (mm) : 160x240
Illustrations : Gravures et dessins
Discipline :
Histoire-LittératureMots-clés :
Djeddah,
Péninsule Arabique,
Anthologie,
Patrimoine orientaliste
Guide pratique
Photographies de Houda Kassatly
Auteur : SAMADI NAAMAN Hana
Prix (TTC) : 22.00 €
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Parution : 2018
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Cette promenade muséale aux pays des Cèdres n’a pas de prétention. Elle a pour objectif de souligner l’effort patrimonial tant privé que public, de vous inciter à la découverte, de piquer votre curiosité : voir le lit où a dormi Charles de Gaulle, se rendre à la maison du père de la nation, s’émerveiller devant des pierres d’une beauté rutilante, plonger dans les richesses insoupçonnées des profondeurs abyssales… Apprendre l’histoire du Liban par ses sites archéologiques, sa monnaie, ses métiers, ses outils agraires, ces expressions artistiques diverses et variées ; admirer l’ingéniosité de la première imprimerie en lettres arabes ; se recueillir devant les reliques des saints pour une intercession ou la paix intérieure : voilà tout un programme ! Les collectionneurs ne sont pas en reste dans ce guide pratique : miniatures, toiles, icônes, mosaïques, manuscrits, rien n’arrête leur passion.Des objets éclectiques ou valeureux, témoins discrets de savoir-faire traditionnels tombés dans l’oubli sont exhibés dans des lieux et des conditions très variables. Vous n’avez plus d’excuses : la route des musées du Liban est tracée.
Il ne vous reste plus qu’à l’emprunter.
ISBN 10 : 2705340087
ISBN 13 : 9782705340087
Publication : co-édition Alayn
Collection :
VariaPages : 252
Format (mm) : 140x200
Illustrations : 1 carte
Discipline :
Ouvrages généraux et diversMots-clés :
Liban,
Muséographie,
Patrimoine
Postface musicologique : Saif Ben Abderrazak -
Texte arabe : Dima Rifaï
Auteur : SALEH KAYALI Zeina
Prix (TTC) : 28.00 €
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Parution : 2018
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Wadia Sabra (1876-1952) est connu comme compositeur de l'hymne national libanais et fondateur du Conservatoire national supérieur de musique du Liban. Mais il est bien plus que cela, et notamment l'un des premiers à “importer” l'écriture musicale au Liban. Son catalogue compte un grand nombre d’œuvres vocales et instrumentales à côté d’une riche activité de musicologue. Cet ouvrage, dont la principale source est le fonds Wadia Sabra, déposé par sa famille au Centre du Patrimoine Musical Libanais CPML), revient sur l’étonnant parcours de celui qui peut être considéré comme le père fondateur de la musique savante libanaise.
Figures musicales du Liban est une collection dont le but est de faire connaître le patrimoine musical libanais des XXe et XXIe siècles. Toute personne ayant contribué par son travail ou sa passion à apporter une pierre à l’édifice encore fragile des musiques savantes libanaises peut y trouver sa place. Aux couleurs de l’âme libanaise, tantôt d’Orient ou d’Occident, pont entre les cultures, le patrimoine musical libanais trouve ici un écrin qui lui donne, auprès des Libanais ainsi que des mélomanes en général, la visibilité qu’il mérite.
Zeina Saleh Kayali s’attache depuis de nombreuses années à faire connaître le patrimoine musical libanais. Chargée de mission à la Délégation du Liban auprès de l’UNESCO et vice-présidente du Centre du Patrimoine Musical Libanais (CPML - Espace Robert Matta), elle a fondé et dirige cette collection.
ISBN 10 : 2705340025
ISBN 13 : 9782705340025
Collection :
Figures Musicales du LibanTome : 5
Pages : 300
Format (mm) : 125x180
Discipline :
MusicologieMots-clés :
Figures musicales du Liban,
collection,
patrimoine musical libanais,
musiques savantes libanaises,
musicologie
Auteur : SALEH KAYALI Zeina
Prix (TTC) : 20.00 €
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Parution : 2016
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Figures musicales du Liban est une collection dont le but est de faire connaître le patrimoine musical libanais des 20e et 21e siècles. Toute personne ayant contribué par son travail ou sa passion à apporter une pierre à l’édifice encore fragile des musiques savantes libanaises peut y trouver sa place. Aux couleurs de l’âme libanaise, tantôt d’Orient ou d’Occident, pont entre les cultures, le patrimoine musical libanais trouve ici un écrin qui lui donne, auprès des Libanais ainsi que des mélomanes en général, la visibilité qu’il mérite.
Zeina Saleh Kayali s’attache depuis de nombreuses années à faire connaître le patrimoine musical libanais. Chargée de mission à la Délégation du Liban auprès de l’UNESCO et vice-présidente du Centre du patrimoine musical libanais (CPML-espace Robert Matta), elle dirige cette collection.
Zad Moultaka est né à Beyrouth le 5 juin 1967. Il débute comme pianiste concertiste puis décide de se consacrer à la composition. Il poursuit une recherche personnelle sur le langage musical, intégrant les données fondamentales de l’écriture occidentale aux caractères spécifiques de la musique arabe.
ISBN 10 : 2705339692
ISBN 13 : 9782705339692
Collection :
Figures Musicales du LibanPages : 134
Format (mm) : 125x180
Discipline :
MusicologieMots-clés :
Figures musicales du Liban,
collection,
patrimoine musical libanais,
musiques savantes libanaises,
musicologie
Auteur : SALEH KAYALI Zeina
Prix (TTC) : 20.00 €
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Parution : 2016
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Figures musicales du Liban est une collection dont le but est de faire connaître le patrimoine musical libanais des 20e et 21e siècles. Toute personne ayant contribué par son travail ou sa passion à apporter une pierre à l’édifice encore fragile des musiques savantes libanaises peut y trouver sa place. Aux couleurs de l’âme libanaise, tantôt d’Orient ou d’Occident, pont entre les cultures, le patrimoine musical libanais trouve ici un écrin qui lui donne, auprès des Libanais ainsi que des mélomanes en général, la visibilité qu’il mérite.
Zeina Saleh Kayali s’attache depuis de nombreuses années à faire connaître le patrimoine musical libanais. Chargée de mission à la Délégation du Liban auprès de l’UNESCO et vice-présidente du Centre du patrimoine musical libanais (CPML-espace Robert Matta), elle dirige cette collection.
Gabriel Yared est né à Beyrouth le 7 octobre 1949. Célèbre pour ses musiques de films, lauréat de nombreux prix (Oscar, Golden Globe, Bafta, César etc.). il compte également à son catalogue des musiques de ballet, de la musique de chambre et de la musique pour instrument seul.
ISBN 10 : 2705339685
ISBN 13 : 9782705339685
Collection :
Figures Musicales du LibanPages : 174
Format (mm) : 125x180
Discipline :
MusicologieMots-clés :
Figures musicales du Liban,
collection,
patrimoine musical libanais,
musiques savantes libanaises,
musicologie
Auteur : SALEH KAYALI Zeina
Prix (TTC) : 20.00 €
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Parution : 2016
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Figures musicales du Liban est une collection dont le but est de faire connaître le patrimoine musical libanais des 20e et 21e siècles. Toute personne ayant contribué par son travail ou sa passion à apporter une pierre à l’édifice encore fragile des musiques savantes libanaises peut y trouver sa place. Aux couleurs de l’âme libanaise, tantôt d’Orient ou d’Occident, pont entre les cultures, le patrimoine musical libanais trouve ici un écrin qui lui donne, auprès des Libanais ainsi que des mélomanes en général, la visibilité qu’il mérite.
Zeina Saleh Kayali s’attache depuis de nombreuses années à faire connaître le patrimoine musical libanais. Chargée de mission à la Délégation du Liban auprès de l’UNESCO et vice-présidente du Centre du patrimoine musical libanais (CPML-espace Robert Matta), elle dirige cette collection.
Naji Hakim est né à Beyrouth le 31 octobre 1955. Il est célèbre dans le monde entier pour ses interprétations et ses improvisations à l’orgue. Son catalogue, outre de la musique pour orgue, compte également des pièces symphoniques, des oratorios, de la musique de chambre et de la musique pour instrument seul.
ISBN 10 : 2705339678
ISBN 13 : 9782705339678
Collection :
Figures Musicales du LibanPages : 142
Format (mm) : 125x180
Discipline :
MusicologieMots-clés :
Figures musicales du Liban,
collection,
patrimoine musical libanais,
musiques savantes libanaises,
musicologie
Auteur : SALEH KAYALI Zeina
Prix (TTC) : 20.00 €
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Parution : 2016
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Figures musicales du Liban est une collection dont le but est de faire connaître le patrimoine musical libanais des 20e et 21e siècles. Toute personne ayant contribué par son travail ou sa passion à apporter une pierre à l’édifice encore fragile des musiques savantes libanaises peut y trouver sa place. Aux couleurs de l’âme libanaise, tantôt d’Orient ou d’Occident, pont entre les cultures, le patrimoine musical libanais trouve ici un écrin qui lui donne, auprès des Libanais ainsi que des mélomanes en général, la visibilité qu’il mérite.
Zeina Saleh Kayali s’attache depuis de nombreuses années à faire connaître le patrimoine musical libanais. Chargée de mission à la Délégation du Liban auprès de l’UNESCO et vice-présidente du Centre du patrimoine musical libanais (CPML-espace Robert Matta), elle dirige cette collection.
Bechara El-Khoury est né à Beyrouth le 18 mars 1957. Sa musique symphonique et concertante est jouée à travers le monde entier par les orchestres les plus prestigieux et les plus grands interprètes. Son catalogue compte également de la musique de chambre et de la musique pour instrument seul.
ISBN 10 : 2705339661
ISBN 13 : 9782705339661
Collection :
Figures Musicales du LibanPages : 144
Format (mm) : 125x180
Discipline :
MusicologieMots-clés :
FML,
Figures musicales du Liban,
collection,
patrimoine musical libanais,
musiques savantes libanaises,
musicologie
Auteur : GALLEY Micheline , IRAQUI SINACEUR Zakia
Prix (TTC) : 48.00 €
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Parution : 2016
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Grâce à cette nouvelle édition, la Chrestomathie marocaine de Georges-Séraphin Colin (parue en 1939) est non seulement sauvée de l’oubli mais enrichie de précieux ajouts : introductions, double transcription, traduction annotée, repères bibliographiques.
L’ensemble constitue un apport considérable au patrimoine linguistique et culturel du Maroc. Nous avons affaire, en effet, à une forme du dialecte éminemment vivante, expressive, littéraire, aujourd’hui menacée de disparaître. Les textes nous font découvrir tout un éventail de genres issus de la tradition orale : contes parmi les plus représentatifs de l’aire arabe et plus largement méditerranéenne, comme telle histoire universelle venue de l’Égypte antique, telle autre commune aux Mille et Une Nuits ; des anecdotes pleines de verve décrivant la vie rurale et citadine au Maroc au siècle dernier ; des facéties de Jha dont la popularité a franchi siècles et frontières ; des fables mettant en scène une multitude d’animaux dans un monde hiérarchisé à l’image de celui des hommes ; des proverbes, des énigmes…
De nombreux contes illustrent, chacun à sa façon, l’apprentissage de la vie qui passe, sur le mode plaisant, par l’acquisition de vertus dont l’Ulysse grec avait la maîtrise : les ruses de l’intelligence.
La disposition de l’original et de la traduction en vis-à-vis permet au lecteur, s’il le désire, un accès facile et simultané aux deux textes. La traduction se veut étroitement fidèle à l’original : elle tend à en reproduire la vivacité, les images, les sonorités et, pour le plaisir du lecteur, elle « se déroule – ainsi dit le conteur – comme un long fleuve ».
ISBN 10 : 2705339418
ISBN 13 : 9782705339418
Collection :
VariaPages : 678
Format (mm) : 160x240
Discipline :
Linguistique-DialectologieMots-clés :
patrimoine linguistique et culturel,
Maroc,
Florilège,
dialecte,
fables,
proverbes,
Une histoire de la législation
Auteur : SEGRET Guillaume
Prix (TTC) : 38.00 €
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Parution : 2012
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Lorsque s'éffondre, à la fin de la Première Guerre mondiale, l'Empire ottoman vaincu, les ambitions des grandes puissances européennes, vainqueurs du conflit mondial, engagent un processus de partage des territoires libérés. De ce partage, négocié entre la France et la Grande-Bretagne dès avant le début de cette guerre, la France recevra la Syrie et le Liban. Validant lors de la conférence de San Remo, le 25 avril 1920, le partage du Moyen-Orient entre Français et Britanniques, la Société des Nations donne mandat au Gouvernement français sur le fondement de l'article 22 du Pacte de la Société des Nations d'administrer la Syrie et le Liban en son nom.
Au titre de cette mission d'aide et de conseil quelle assure auprès des Gouvernements syrien et libanais, la France se voit imposer par la Déclaration de mandat l'obligation d'élaborer une nouvelle législation sur les antiquités. De la sorte, la règlementation des antiquités et l'administration chargée de son application mises en place par l'Empire ottoman dans les territoires sous son autorité, jugées trop peu libérales au goût des Européens, laisseront la place à une législation plus favorable aux intérêts des puissances archéologiques européennes, au premier rang desquelles règnent la France et la Grande-Bretagne. Fallait-il y voir une volonté de leur part de s'emparer de la richesse archéologique du sous-sol des territoires libanais et syrien ?
À l'heure où se multiplient les demandes de restitution et les réflexions sur le statut juridique des collections, le présent ouvrage, loin d'apporter une analyse exhaustive de l'histoire de la législation des antiquités en Syrie et au Liban sous le Mandat français, présente les textes fondateurs régissant le patrimoine culturel de ces pays et leur application, parfois intéressée, par le mandataire franaçais.
Sensibilisé aux préoccupations de protection du patrimoine culturel, Guillaume SEGRET a étudié le droit et l'histoire de l'art à l'Université Panthéon-Sorbonne. Cette étude clôture au parcours universitaire concerné tant par les milieux juridiques et judiciaires que par les institutions culturelles et le marché de l'art.
ISBN 13 : 9782705338626
Traduction : .
Collection :
VariaPages : 263
Format (mm) : 160x240
Poids : 440g
Illustrations : 10pl., 8 cartes
Discipline :
Histoire-GéographieMots-clés :
droit,
archéologie,
colonisation,
patrimoine,
art
Mélanges offerts au père Michel Hayek - avec une préface de Jean-Marie Cardinal LUSTIGER
Auteur : Collectif, CHARTOUNI Charles
Prix (TTC) : 24.00 €
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Parution : 2007
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« Le Père Hayek a été un homme aux entreprises multiples sans pour autant faire un avec aucune des tâches qu’il s’est fixées tout au long d’un ministère jalonné de défis aussi nombreux que contrastés. Il n’a eu cesse de rompre les amarres qu’il s’est données dans sa vie de pasteur, de prédicateur, d’universitaire, de poète et d’homme aux engagements publics... Il s’est adonné à ces tâches avec toute la ferveur qu’on lui connaît, ainsi qu’avec ce sens de l’urgence et de l’impatience qui ont marqué cette silhouette projetée toujours en avant, comme pour dire la gêne de celui qui se sent toujours en décalage par rapport aux tâches qu’il s’est définies.
Poseur de jalons, défricheur de sentiers neufs et oubliés, inspirateur aux intuitions variées, ami et accompagnateur aux fidélités multiples, Michel Hayek n’a jamais cessé d’être ce solitaire au croisement de tous les chemins qu’il finira par quitter, sans aucun regret ».
Ont contribué à ce volume : Charles Chartouni, Jean Clam, Basile Aggoula, Tanios Abou Mansour, Salim Daccahe, Paul Féghali, Clémence Hélou, Elie Khalifé, Georges Labaki, Bénédicte Landron, Youssef Mouawad, Paul Rouhana, George Sabra, Youhanna Sader, Gérard Troupeau, Père Maurice Borrmans, Diane Apostolos-Cappadona, Jean Clam, Jad Hatem, Manfred Kropp, As’ad E. Khairallah, André Miquel, Youssef Azzi.
ISBN 10 : 2705337873
ISBN 13 : 9782705337872
Collection :
CollectifPages : 380
Format (mm) : 160x240
Discipline :
Religions-MythologiesMots-clés :
christianisme,
érémétisme,
mystique,
monachisme,
moine,
Histoire et organisation
Auteur : GELIN Mathilde
Prix (TTC) : 26.00 €
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Parution : 2002
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Ce travail d'historiographie vient combler une lacune importante dans l'approche de l'archéologie au Proche-Orient entre les deux guerres? Dans la mesure où Mathilde Gelin a su intégrer cette enquête dans une perspective historique , cet ouvrage contribue à éclairer un aspect trop souvent négligé de l'histoire du Mandat et de la naissance des jeunes républiques de Syrie et du Liban.
ISBN 10 : 2705337121
ISBN 13 : 9782705337124
Collection :
VariaPages : 136
Format (mm) : 160x240
Poids : 300g
Illustrations : 26 pl.
Discipline :
Archéologie-ArchitectureMots-clés :
Liban,
patrimoine,
Syrie,
archéologie,
fouilles,
ifpo,
mission